
En lisant le Psaume 19, j'ai trouvé un prolongement intéressant de cette idée. David y écrit, au verset 13 :
Qui peut connaître
ses erreurs involontaires ?
Tiens-moi pour innocent
De ce qui m'est caché.
Qui peut connaître
ses erreurs involontaires ?
Tiens-moi pour innocent
De ce qui m'est caché.
Le mot traduit par erreurs involontaires (שְׁגִיאוֹת) a la même racine que le terme rendu par par erreur dans Lv 4.2. Nous sommes donc a priori dans le même registre de fautes.
David nous montre que l'institution de sacrifices pour ce type de péchés ne règle pas le problème pour autant, car encore faut-il être conscient de les avoir commis.
Nous arrivons donc, comme pour les péchés commis haut la main, à la conclusion que, ultimement, le pardon ne peut se fonder que sur la grâce de Dieu. C'est ainsi que je comprends le cri du coeur de David : Tiens-moi pour innocent de ce qui m'est caché.
David nous montre que l'institution de sacrifices pour ce type de péchés ne règle pas le problème pour autant, car encore faut-il être conscient de les avoir commis.
Nous arrivons donc, comme pour les péchés commis haut la main, à la conclusion que, ultimement, le pardon ne peut se fonder que sur la grâce de Dieu. C'est ainsi que je comprends le cri du coeur de David : Tiens-moi pour innocent de ce qui m'est caché.
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